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 ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞

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Huxley Rezh
Age : 37 ans.
Origines : Inconnues.
Métier : Mercenaire.
Indulgences : 281
Localisation : Black Bunker.
Avatar : Tom Hardy.
Souvenirs : 199
Double compte : Bilàl motherfucker.

Your identity
Situation: Moi tarzan, toi Jane.
Croyances: Indéfinies.
Classe de naissance: Wastelander.

Huxley Rezh
WASTELANDER - Fighter

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MessageSujet: ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞   ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ EmptySam 3 Jan - 5:52

Huxley "Hux" Rezh
And he who look at the world like a child will behave like a child



Papers please
Nom complet :
N'en a jamais vraiment eu. Rezh était un mot marqué sur un panneau qu'il a un jour montré du doigt tout excité. Quant à Huxley, "Hux" c'est son acolyte qui l'a surnommé ainsi comme on nomme son animal de compagnie.
Âge :
Estimé à 37 ans. Il a du mal à définir le concept du temps qui passe.
Statut :
Moi tarzan, toi Jane. Si seulement avoir un statut voulait dire quelque chose pour lui. Les relations sociales lui sont étrangères, qu'il ait déjà pu fricoter avec une personne de sexe opposé tient déjà du miracle.
Nationalité :
C'est une excellente question. Il se souvient avoir contourné les montagnes, quelque part à l'extrême ouest. Il se souvient aussi d'une immense ville ravagée où la nature reprenait lentement ses droits.
Groupe & Rang :
Wastelander de naissance, la désolation lui colle à la peau et lui va bien au teint. Plus ou moins au camp Black Rowdies, un choix purement intéressé de son compagnon. Fighter invétéré, on change de côté de la route quand on le croise.
Métier :
Mercenaire patibulaire versé dans la kleptomanie compulsive. Cogne-sans-faim qui a toujours pillé pour survivre. Flanqué à son compagnon de route comme un chien de garde enragé.



Que pensez-vous du Dôme ?
Lorsque tu l’as vu la première fois, tu as eu ce léger mouvement de recul. Tes talons se sont enfoncés un peu plus dans la boue, celle formée par la neige sur la terre en dégel. Au creux de ton estomac jusqu’au bout de tes doigts tu as reconnu ce sentiment de peur mêlée de curiosité, ce frisson d’excitation parcourant tes veines devant cette nouvelle chose à ton monde monochrome. Cette énorme montagne de fer, cet incompréhensible constat simplement posée là au milieu de nulle part défiait les conceptions de ton univers restreint. Un regard timide vers Jørgen, comme pour demander la permission de ses yeux roulants vers le ciel. La paume contre le métal froid, les pupilles reflétant son éclat terne tu ignores que l’innocence contemplative dont tu fais preuve perdrait vite sa flamme en son sein. Le dôme n’est pas pour toi, il t’écraserait comme une simple vermine après t’avoir sacrifié à l’autel de la norme. Le dôme n'est pas merveilleux et ne mérite pas l'admiration que tu lui voues. Non, tu es bien mieux dehors à croire qu’il est la plus belle chose que tu aies jamais découverte. A l’abris à la sauvagerie qui t'incombe, protégé par la nature cruelle de ta liberté. Celle de la société serait bien pire pour toi incapable de t’y adapter. Et imperceptiblement tu l'as compris, c'est pour ça que tu as suivit ton compagnon sans un dernier regard en arrière.

Quelle est votre mission au sein de la communauté ?
Ils sont venus bousculer ton monde, t’ont poussé dans tes derniers retranchements. Ils te font peur, te paraissent trop paisibles pour l’être vraiment. Tu es incapable de gérer autant de visages à la fois, autant de voix différentes et d’intentions qui t’embrouillent chaque jour un peu plus. Tu les observes et c’est déjà bien suffisant. La notion même de communauté t’es étrangère, les groupes que tu as connus étaient un même individu pourtant épars : la barbarie incarnée par la myriade. Tu la retrouve en chacun d’eux et même en toi-même, elle danse sur tes nerfs et enveloppe tes muscles qui se contractent avec délice. C’est ce qui fait tourner ce monde, tu as du mal à imaginer comment un jour il a pu en être autrement. Jørgen te parle d’histoires qu’il a gardé du monde d’avant, comme ses ancêtres avant lui. Bien que tu n’en comprenne que la moitié tu l’écoute chaque fois avec soin, elles confirment tes certitudes : ce monde n’est que violence. C’est toujours le même récit, celle de guerriers et de combats. Il te parle du Berserk, mi-homme mi-animal à la fureur destructrice. Il le secoue sous ton nez comme un modèle à suivre, une ligne directrice dans laquelle tu te fonds sans problèmes. A défaut d’aboyer tu mords et tu ne lâches pas prise sur la vie même si cela implique en finir d’autres. Tu n’as même pas conscience de cet enjeux moral, tu es trop heureux de protéger ton compagnon, le maitre implicite de ton avenir. Tu le suis dans ses plans : si piller est son idée alors tu le feras. Si devenir mercenaire est la clé alors tu le feras. Si te fondre dans cette communauté sous couvert de ta force démesurée pour mieux les exploiter est le dessein final, alors ainsi exécuteras-tu.

Que pensez-vous de l'extérieur ?
Personne ne peut comprendre, cette fascination que tu as pour ces paysages dévastés. Là où tous se plaisent dans des abris sous terre tu préfères dormir à la belle étoile. Il y a quelque chose d’apaisant dans la nature, le bruit de la pluie sur les tôles rouillées. Il y a quelque chose de vivant dans ces apparents déserts mortifiés. Et toi seul peut voir toutes ces veines pulser sous tes pieds. La défaillance de ce monde est magnifique, chaque son, chaque imperfection te touchent en profondeur et réveillent cette part enfantine qui ne t’as jamais quittée. Tu retrouves ta liberté à l’extérieur, ces sensations qui n’appartiennent qu’à toi. La nature n’a pas besoin de tes mots, elle te comprend simplement en entrant en écho avec ta sauvagerie. Au final tu es certainement plus animal qu’humain. Tu fonctionne ainsi, impitoyable justice, cycle immuable de vie et de mort. L’extérieur ne t’es pas hostile, c’est la communauté humaine qui te fais peur.

Enjoy the silence

Words are very unnecessary they can only do harm

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Il y a de l’indolence, quelque chose d’innocence. Il y a des cris et du silence, des relents d’existence. Que l’on ne soit trompé par le corps, l’âme qui s’y est perdue ne se fonds en rien dans ces traits de brute épaisse. Le moule externe annihile pourtant la conscience du paradoxe : la peau revêche hérissée de violence, trop grande pour toi. Oui une immense violence dégingandée, celle d’un animal qui se débats pour survivre. Tu mords et crache la colère de ta liberté contrariée. Il n’y a pas de demi-mesure, les coups précis et secs d’un être pourtant maladroit et effacé au calme. Pas de bien ou de mal, juste en faire le plus possible. Tu n’y prend aucun plaisir, quelque chose en toi a cessé de fonctionner depuis le jour où tu n’as pas apprit le sens de tes actes et de ceux des autres. Lunatique animal perçu comme un capricieux à échelle humaine, tu es pourtant quelques barreaux au dessus de tout cela. Au dessus des sous-entendus et des conceptions, plus que de l’incompréhension tu possède l’ignorance de celui qui n’a jamais apprit ce qui semblera évident pour tous. Tu n’es pas seulement sauvage, tu es un sauvage construit et éduqué dans ce sens : des leçons de néant pour te livrer aux affres de toi-même. La peur tu la connais, celle de l’inconnu qui t’émerveille pourtant, la peur de la différence : ils sont anormaux vu par le filtre de tes yeux. Timidité maladive face à l’homme, pourtant véhémence impitoyable pour celui qui osera provoquer ton espace vital. Mais qui est défaillant au final ? Ceux qui se fourvoient dans l’expression compliquée de leurs pensées verbalisées ou ceux qui comme toi la conservent et la vivent en dedans ? Le langage, les mots, ces ridicules petits sons qui te font défaut. Tu ne parles pas par incapacité physique, tu reste muet parce que tu ne sais pas parler comme eux. Ton langage est un assemblage brouillon de gestes et de grognements, ceux que tu parviens à pousser en forçant ta nature vierge de toute construction humaine. Et lorsque vient le moment d’ouvrir la bouche, confronté à la nécessité d’une réponse dans la norme tes entrailles s’agitent. Ils te font ressentir la honte d’être ce que tu es et rien que pour cela tu les hais.

C’est un effort considérable que de chercher à leur ressembler, tu n’es pas vraiment certain de le vouloir mais ce n’est plus un choix qui t'incombe. Tu sais que s’adapter c’est survivre, et c'est bien là ta forme d'intelligence principale. Ils n’amènent jamais rien de bon, il te suffit d’observer leurs scènes quotidiennes, écouter la musique de leurs babillages pour voir que tu ne seras jamais comme eux. Tu aimes contempler, c’est ton école de la vie en communauté. En recul dans ton coin tu domine mieux la situation qu’en son cœur. Faux taciturne qui aime être en paix mais poursuit sans cesse la présence. Fantôme entre les tranches de vies, ton enveloppe patibulaire se fait agile et discrète, tu en arrive à t’effacer de la surface de ce monde auquel tu n’appartient pas. Le silence qui t’entrave t’apaise aussi, tu n’en reste pas moins aux aguets des délicieuses tonalités qui parviennent à tes oreilles. Frustré de ton expression tu jouis de celle des autres, collectionneur d’instants. Collectionneur d’objets aussi, une manie compulsive que tu n’explique pas. Tu voles comme tu respire et tu nies tout aussi facilement d’un crochet du droit. Tu n’aimes pas les objets que pour ce qu’ils sont, utiles ou beaux. Non tu les aimes pour ce qu’ils représentent : des extensions de ces humains, ces personnes qui ne sont pas comme toi. C’est un peu ta vengeance contre eux, leur dérober ce à quoi ils se raccrochent, ces choses insignifiantes en lesquelles ils fondent leurs existences. Tu n’as pas leurs vocations, tes journées ne sont pas complexifiées par des passions et des craintes. La plénitude t’habite, celle des bienheureux à la conscience trop faible. Ce n’est pas vraiment que tu sois un pur esprit, tu as juste l’optimisme touchant d’un enfant qui regarde s’étendre la vaste terre sous ses pieds. Un enfant, c’est ce qui te définit le mieux au final : tout à apprendre et à découvrir. Cette candeur est ton plus grand handicap, quand mariée à ton ignorance elle te rend naïf. Il est si facile de t’utiliser, quelques appâts de bonté pour apprivoiser la bête. Couché, debout, attaque, la dévotion avec laquelle tu t’offres ensuite fait peine à voir lorsqu’elle est utilisée à mauvais escient. Tu protèges ce que l’on te donne, toi qui n’a rien. Et tant pis si quelque part en chemin, tu rate ce qui pourrait faire de toi un vrai petit garçon.


Great big white world

The very winds whispered in soothing accents,
and maternal Nature bade me weep no more.

❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 1420585456-fch2


L’écarlate sur la pureté infinie, tu aimes le contraste de ces deux couleurs. Hypnotique palette à tes yeux, nectar de mémoire incontrôlable le long de tes tempes. Tu sues tes souvenirs à grosses gouttes, la peur transfigure l’image du temps et le catalogue du vécu déroule ses horreur indexées. Tu as déjà vu cette scène, tu en connais les traits violents parce que tu en as déjà dépeint des pareilles à grands coups. Le pinceau c’est ton poing qui pourfend l’air, le conditionnement a surmonté la peur, l’action remplace l’inertie. La toile de ton œuvre c’est le visage blafard de cette ordure que tu te charges de recouvrir de couleur. Des taches pourpres se superposent au canevas qui dessine déjà sa cruauté dans la neige. Peu à peu le blanc disparaît, toute trace d’innocence entre tes doigts serrés avec tellement de force qu’elle te blesse toi-même. Tes phalanges se heurtent aux os brisés de l’inconnu, se déchirent à la moelle écharnée de ce qui était il y a quelques instants un visage. Ton bras assène avec répétition, une rythmique mécanique et brutale, un marteau qui bats la mesure du meurtre animal. Aucun son ne s’échappe de tes lèvres scellées dans une mimique concentrée sur ton devoir, celui de rayer un enfoiré de plus de la surface de ce monde. Ce jugement de valeur, la morale du bon et du mauvais tu n’es pas capable de l’effectuer. Tu as juste réagit à cette peur et cette frustration au fond de toi, cet instinct d’humanité que tu ne crois pas possible. Pas dans des moments pareils où tes muscles roulent et rugissent toute cette animosité, pas quand plusieurs minutes après la dernière expiration tu continues de frapper le cadavre.

Les bras en croix il attend que les choses passent. Quelque part entre les trous de la toile il peut apercevoir les lumières dans le ciel, celles qu’il a une fois essayé de compter. De nombreuses nuits il remet le compteur de son existence à zéro, se perd dans le faux silence de cet abri de fortune comme s’il hibernait de sa conscience. Quelque part dans le néant il entend les gémissements, les murmures étouffés et les râles ignobles. Le froid l’engourdit lentement, il fait le mort pour survivre. Sa joue a gonflé, il ne peut s’empêcher d’appuyer distraitement du bout de ses doigts comme pour raviver la douleur. Il veut se prouver de sa réalité, il ne veut pas oublier. Petit à petit l’intérieur de la tente s’apaise, les sanglots sonnent la fin du supplice. L’enfant roule maladroitement sur le côté, la dureté de la paillasse irritant ses bras. Il ne lève pas la tête lorsque l’homme passe devant lui, regardant ses pieds nus fouler impitoyablement la terre battue. Une fois la menace disparue il s’extirpe et titube sur ses jambes, hésitant avant d’écarter le pan de tissu qui le sépare d’une scène qu’il connaît déjà. Sa mère à genoux sur le sol, les mains en prière, suppliant une idole de plastique de lui accorder la paix. Ses lèvres ne prononcent aucun mot, juste un gargouillis inaudible incantatoire. Elle n’entend pas son fils approcher, sourde au monde depuis toujours. Celui-ci se glisse entre ses bras, soutenant le sanglot qui vient échouer sur ses frêles épaules. Il s’écarte pour se mettre sur la pointe des pieds, levant la main vers l’objet de culte pour appuyer dessus, un tour qu’il connait bien. Les bruit retentissent, harmonieux ensemble. Le son jaillit de l’objet pour briser le silence. L’enfant se met à sourire à sa mère dont l’expression n’a pas changé. Elle n’est pas capable d’entendre, la beauté ne peut pas percer son monde insonore. Il aimerait lui dire, lui décrire sa découverte, chaque tonalité, chaque émotion. Mais aucun mot ne sort de sa bouche entrouverte. Telle mère tel fils, une anomalie transmise malgré elle. Il rampe une nouvelle fois vers ses membres frêles et son étreinte réconfortante, blottit contre la chaleur féminine. Lorsque la musique s’éteint il ne sursaute même pas, un brin de rébellion dans le regard. L’homme a toujours la main sur l’objet, sa serre refermée sur le boitier. Lorsqu’il envoi une nouvelle fois sa progéniture mordre la poussière il ne prononce aucun mot. Futile est le langage lorsque les coups le remplacent.

Tu lui as fait expier sa naissance, l’a rendu à la pourriture de laquelle il est sortit. Tu n’échappe même pas un souffle lorsque tu te redresse, pas un dernier regard, tes yeux se sont posés sur une autre silhouette inerte. Face contre terre, la femme semble frêle, embaumée dans les lambeaux de sa robe comme une chrysalide. Lorsque l’on touche les ailes d’un papillon il va mourir, elle n’échappe pas à la règle lorsque tu ose poser une main contre son épaule pour la retourner. Son visage tuméfié témoigne à peine de la vie qui lentement s’enfuit, elle émet un gargouillis qui vient éclore sur ses lèvres comme une fleur pourpre. Du sang coule de son crâne fendu, elle agonise dans tes bras, ton visage désolé d’être vierge de toute émotion pour dernière image. Tu poses ta main sur ses lèvres, pressant ses voies respiratoires du plat de ta large paume. Elle n’a pas le temps d’esquisser un mouvement à l’aveugle que son bras retombe, inerte. Tu contemple l’œuvre de l’homme, un destin que tu as inexplicablement cherché à empêcher. Tu as agit trop tard, l’injustice est cuisante. Tu laisses la femme reposer dans la neige, ses pupilles éteintes. Tu te détend enfin, tes membres attirés vers l’arrière. Tu as rendu le jugement.

Tous les regards sont rivés sur le condamné. Il aimerait s’y dérober et se fondre dans la foule, pousser un autre à sa place mais les deux hommes le maintiennent fermement. Son père se dresse face à lui, chef de clan incontestable. Sa main est posée sur l’objet sacré, celui qui lui donne toute sa légitimité et que son fils a essayé de dérober. L’humanité est ignorante, cette bande d’âme effrayées ne connaissent plus rien. Il lui suffit de lancer la musique pour que tous ploient devant lui, pour déclamer sa sentence divine et leur promettre la miséricorde. Il y a un homme encore assez intelligent pour se prendre pour dieu. L’adolescent n’a jamais eu peur de cette mélodie, au contraire ravit par ces images sonores qui se passent du langage parlé. Pourtant au milieu de ses semblables surexcités il est terrorisé comme jamais. Aujourd’hui il va payer une énième fois, expier son manque de foi et son anomalie. Pourquoi n’est-il pas comme les autres ? Pourquoi s’acharne-t-il à être un être humain normal ? Pourquoi est-il un fils indigne ? Il lui suffirait de croire, de se courber lui aussi devant la toute puissance religieuse de l’homme qui le regarde avec dégout. Mais il ne croit pas, il n’avale pas les mensonges et la cruauté. Il refuse de se soumettre. Il est encore jeune, pas encore forgé. C’est pour cela que la peine choisie est éducative. « Frappez-le. Frappez-le jusqu’à ce qu’il sorte un son. Un gémissement, un cri. Faites-le hurler, peu importe. Il suffit de son silence insolent. » La violence éclate en même temps que la musique, l’adolescent pleure comme l’enfant qu’il est toujours. Il se recroqueville sur le sol comme un paria au milieu de la foule en transe, il ne peut même pas les supplier d’arrêter. Il est seul, sa mère baisse la tête aux côtés de l’homme qui la martyrise. Terriblement seul face au fanatisme religieux qui prône tant de haine. Et malgré tous les bleus et les os brisés, aucun son ne lui a échappé.

Assis dans la neige, tu contemples les morts autour de toi. Seul, tu es seul encore une fois, le silence pour unique compagnon. Ton silence, celui de la neige qui étouffe le moindre bruit. Ton regard glisse à nouveau sur la pauvre victime, la pauvre mère en devenir. Tu ne veux pas te souvenir, maintenant que la violence a cessé de t’aveugler et que tu reviens à tes élans affectifs tu te sens faible. Terrorisé comme un petit garçon au milieu d’un grand désert blanc. Ta main se pose sur le ventre rond, ton oreille vient s’y coller dans un mouvement maladroit. La femme est grosse et même dans la mort son antre de vie dégage encore de la chaleur. Tu ferme les yeux un instant, sursautant bien vite de sentir un coup au travers de la barrière de chair. La chose à l’intérieur est encore en vie. Tu regarde le ventre du cadavre perplexe, tu n’es pas bien sûr de comment l’en sortir. Tu finis par dégainer un long couteau de ta ceinture, n’hésitant pas plus de quelques secondes avant de trancher au hasard la bosse d’une main tremblante. Le sang coule à flots, il réchauffe l’extrémité de tes doigts gelés qui plongent dans la plaie béante. Tu remues, cherche le peu de vie dans la mort et tu la trouve, extirpant une petit chose écarlate et sale, hurlant à plein poumons des entrailles de sa mère. Tu te demande si toi aussi tu as hurlé ainsi le jour de ta naissance, si toi aussi tu était tout rose et rond. Peut-être était-ce la première et dernière fois que ce monde avait entendu ta voix, ta fureur de vivre assourdissante avant que sa mélodie ne soit perdue à jamais dans les tréfonds de ta gorge.

Il attrape le poing d’un vif revers, rendant coup pour coup à son adversaire. Il le plaque au sol d’un grognement avant que celui-ci ne lève les mains en signe de reddition. « Oula tout doux l’animal, on peut discuter ? » L’homme lui assène un nouveau coup à la mâchoire, manquant d’assommer son semblable. « Putain ça fait un mal de chien ! » Il finit par se redresser, posant toutefois son pied sur le torse de sa victime pour l’empêcher de fuir. Il le regarda avec une lueur impitoyable, fourrant dans sa poche ce qu’il venait de lui voler. « D’accord, très bien, garde-le si t’y tiens. Mais bordel enlève ton poids mort de ma carcasse ! » Il s’exécute et fait un pas de côté, laissant l’autre se redresser. « Se faire tabasser pour une pile, on aura tout vu dans c’monde de merde. » Marmonne-t-il en époussetant ses vêtements rapiécés. Il jauge son agresseur. « T’es pas d’ici toi, attend voir. » Il pencha la tête sur le côté. « Me dit pas qu’tu viens de chez ces barjos de Moscow. » Un grognement pour toute réponse et l’autre recule. Le maigre campement est ravagé, une femme pleure dans un coin, cachée derrière une vieille malle retournée. « Ok ok, tiens tu peux même prendre ma nourriture si tu veux, si ça peut éviter aux types de ton clan de me traquer pour me rôtir la face. » L’homme ignore le bavard, tournant le dos pour reprendre sa route. L’adolescent a grandit, sa violence aussi. Cycle immuable, il a aspiré la superbe de son paternel maintenant vieillard sénile. Le clan se meurt, avide comme une meute de chiens affamés à se dévorer les uns les autres au milieu de la ville ravagée. La boite à sons est rendue muette, l’énergie divine semble être arrivée au bout de sa réserve. Pourtant le vieux se fourvoie toujours, il lui reste encore assez de violence pour renier sa progéniture. « Tu n’as pas ramené ce que je t’avais demandé. » La main dans la poche, il caresse du bout du doigt l’objet volé. Il ne lui donnera pas ce qu’il espère. « Dieu t’as renié, et pourtant tu t’entête encore. » Le père décoche une claque, le fils ne réagit pas. « Tu es comme ta mère, marqué par le silence. C’est pour ça que tu ne m’es rien. C’est pour ça que je t’ai renié. Dieu, je ne t’aime pas. » Le fils s’obstine à l’inertie, il ne comprend presque rien des propos avancés. Sa conscience du monde s’est perdue il y a bien longtemps, entre l’incapacité de s’exprimer, l’indifférence et les coups répétitifs. Il erre entre deux, un animal pas tout à fait bestial et un humain loin de l’être. C’est pour ça que ses mains finissent par se refermer sur la gorge de son géniteur comme l’on attrape un peu trop fort un oisillon. Il n’en peut plus de ces mots, ce verbiage incessant qu’il ne comprend pas. Ses entrailles lui crient de le faire, mettre un terme au bruit. Le vieil homme tombe comme un pantin, dans sa lutte il a tendu le bras vers la relique musicale d’un monde oublié. Le fils écrase l’objet sous sa chaussure, tapant plusieurs fois du pied, proche de la jouissance. Les règles de la survie ont changé maintenant.

Tu enroules le nouveau-né dans un pan arraché de la robe de la femme en te redressant, plutôt perplexe sur la suite. C’est à ce moment que tu la remarque, la petite silhouette figée comme une statue de glace à côté de la tente de fortune. Témoin de toute la scène, le petit garçon te regarde de ses yeux bleus écarquillés. « Er du en berserkr ? » Son doigt s’est pointé vers toi, cette montagne qui lui fait de l’ombre. Ta peau maculée de sang, tes vêtements sales et tes mains abimées agrippées sur le bébé comme un monstre tient une proie qu’il est prêt à dévorer. Tu ne comprends pas ses mots, plus que la langue c’est le son qui se heurte au mur de ton incapacité à la communication. L’enfant s’est approché, réitérant sa question. « Er du en berserkr ? » Tu as reculé la même distance, comme effrayé de ce gosse que tu pourrais pourtant écraser d’un coup de poing. Ta gorge est parvenue à échapper un grognement de mise en garde, le corps hérissé devant son intrusion dans ton univers de silence. « Det er min søster ? » Il montre cette fois le bébé, s’approchant encore. Tu grogne plus fort pour faire face au sourire qu’il te dédie. Il s’arrête pour considérer un instant le cadavre de sa mère, quelque chose d’indéchiffrable passe sur son visage. Il se retourne pour faire un bond vers celui de l’homme, donnant un coup de pied enfantin dans les côtes du mort avant de faire volte-face. « Jørgen » Le doigt vers sa poitrine, il accompagne la présentation d’un autre signe d’incitation. Celui-ci tu aurais pu prétendre ne pas le comprendre, pousser ce gamin hors de ton chemin en fourrant sa sœur dans ses bras sans plus de cérémonie. Ils n’ont aucune chance dans ce monde, l’innocence ne survit pas à la barbarie. Il n’y a aucun espoir non, mieux que quiconque tu le sais. Dans la neige tes pas recouvrent entièrement l’empreinte des siens lorsque tu te lance à sa suite.

***

Tes yeux se sont posés sur Jørgen. Tu sais qu’il pense la même chose que toi mais tu n’aime pas cette lueur indéchiffrable dans le fond de son regard. Cette lueur tu ne l’as que rarement vue, la dernière fois remonte à la mort de sa soeur. Il n’était qu’un enfant, à peine remit de celle de sa mère. Il a creusé lui-même le trou dans la neige pour y déposer le bébé bleuit. Il n’a pas dit un mot sur le sujet depuis toute ces années. Alors maintenant que tu le regardes jauger l’ennemi, planqué derrière un arbre, tu te demandes si tout cela n’est pas qu’une façade. « Aller Hux, pourquoi t’hésites ? » Tu roules des yeux vers les hommes armés, aspirant de l’air. « Soit pas con. » Tu grogne légérement en guise de menace. « Ok, soit pas idiot. Je te dis que c’est juste l’affaire de quelques mois, le temps de profiter d’eux et on dégage avec ce qu’il restera de leurs vivres et leurs armes. Ça a très bien marché jusque-là les pillages mais y’a plus rien à voler chez les groupes restreint. Non mon vieux je te dis, écoute mon intelligence, faut viser plus gros. » Tu n’aimes pas ce plan, pire, tu crache sur ce plan. Il est indéniable que Jørgen est le cerveau dans votre petit duo, même du haut de ses dix-huit ans. Mais ce coup-ci tu te dois d’émettre tes réserves. Ce clan tu l’as observé seul pendant trois jours, a noté les allers et venues, les attitudes. Ce que tu y a vu t’as rappelé Moscou, laissant ce goût de fer sur ta langue. Mais comment pourrais-tu bien l’expliquer à ton compagnon en long et en large, toi qui sait à peine prononcer un mot. « Jør » Marmonné entre tes dents, presque inaudible. Tu te lances à la suite de l’adolescent qui est sortit de sa cachette pendant que tu pesais le pour et le contre entre les cloisons de ton crâne. Tu tend le bras pour attraper son épaule mais une main se pose sur la tienne. « Hey stop ! Vous sortez d’où vous ? » Tu fais volte-face vers un homme armé, te dégageant de sa prise. L’un de ses camarades a déjà Jørgen en joue. Tu as envie de lui dire qu’il l’a bien cherché mais déjà il ouvre sa bouche infernale. « Allez vous faire foutre bande de connards ! Personne me menace ! » La situation s’enclenche vite et tu mets déjà l’un des éclaireurs à terre pendant que son confrère échappe un cri strident : Jørgen a planté son couteau dans sa cuisse et s’acharne à tordre la lame. Ton assaillant hors jeu tu te précipites sur le sien, lui réservant le même sort. Jørgen te regarde, visiblement en colère. « C’était ma proie ! » Ta patience disparaît, ce n’est pas un jeu. Tu attrape l’adolescent par le col et le soulève du sol, il t'assène un coup de couteau dans l’épaule pour toute riposte avant de baisser la tête. Tu le repose à terre et glisse ta main sur le sommet de sa tête. Tu aimerai lui dire l’importance qu’il a pour toi, que chaque pas sur le chemin tu le fais pour le protéger. Mais tu n’as ni les mots ni la force lorsqu’il te regarde avec ce même faciès vide. Quelque chose cloche en lui, mais qui es-tu pour oser le lui reprocher ? Qui es-tu pour lui reprocher de t’utiliser comme bouclier, comme chien de garde ? Comment pourrais-tu quand lorsque ce gamin aux yeux bleus comme la glace t’as demandé avec innocence « Er du skal være min berserkr ? » et que pour toute réponse tu as pris sa petite main gelée. Tu n’étais plus seul.

Un monstre, ignare et violent. Mi-homme mi-fauve, un berserk protecteur.
Une bête désespérément humaine.



Behind the Character
JUDAS
IRL j'ai 23 ans. Je suis là encore une fois jours par semaine. J'ai connu After Us grâce à mon envie de vous jouer des mauvais tours et j'utilise Tom Hardy comme avatar. Hello darkness my old friend it's me again.

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Invité

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such surprising, wow, what is that ?

Non en fait j'adore.
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Much surprise wow ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 270039624
On appelle ça un admin faible ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3924317508
Vous pourrez vous venger de Bilàl sur Hux, il parle pas il se plaindra pas What a Face
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C'est un DC ? x) y a pas de champs de profil pour dire ses DCs alors dans le doute... Bienvenue ! Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Ton personnage a l'air cool ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3317274489 !!
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Yhme Leonova
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Heeeeh Bienvenue ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 1421152631
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Bilàl Milošević
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Je suis l'admin, je fais que's'que jeveux ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 270039624
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J'aime pas m'incruster quand je suis pas validée, mais s'pas grave... j'ai tous les droits !

Tu es faiiiibleuuuh ! *pan*

Non j'aime ce nouveau personnage, il nous faudra un lien, si possible ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3924317508
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This man is a genius ! ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 1696994265
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Huxley Rezh
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Rosa tu file du mauvais coton tu le sais ça ? ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 2336890283
En plus t'as floodé dans les suggestions ce matin, je note je note sur ton dossier Arrow

Sven témignon, mais c'est toi le genius ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3924317508
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Ya pas de mauvais ou bon coton, ya que du perfect ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3512010823 *sors*

Ben vu comment c'est partie, ouais j'dois avoir un gros dossier (déjà rien que le terme employé, ça prouve que j'ai déjà beaucoup de choses, alors que je suis sage comme une image ! ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3371236099 )

Bon et alors, ça avance ta fiche ? *s'enfuit loin*
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Elliott Matteï
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Bienvenue. Illustre inconnu gnii . Si tu as des questions n'hésite pas à m'envoyer un MP ou un sexto. gnii

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Hého Rosa c'est dur d'avancer quand vous avez des questions toutes les cinq minutes What a Face

Ellie ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3850022787
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Huxley Rezh a écrit:
Hého Rosa c'est dur d'avancer quand vous avez des questions toutes les cinq minutes What a Face
Bouh la mauvaise foi ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 2336890283

Hé bien sinon re et bon courage pour la fiche de ton nouveau bébé ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 570684961
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Huxley Rezh
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DONE ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 270039624
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Oh bon dieu, ça a mit le temps mais c'est tellement bien !!

Je sais pas ce qu'on va avoir comme lien mais c'est une obligation qu'on en trouve un ! ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 570684961
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Поздравляю !


Après l'effort le réconfort, tu es validé(e) ! Tu peux d'ores et déjà installer tes valises sur le forum ! Pour ce faire n'oublie pas de lire les annexes scrupuleusement afin d'être certain(e) d'avoir l'univers en tête pour te lancer dans de trépidants sujets. Afin d'être sûr de laisser ton emprunte et t'annoncer aux autres joueurs n'oublie pas de recenser ton avatar et recenser ton personnage ! Tu peux effectuer un certain nombre de demandes pour ton personnage et son histoire en visitant la partie gestion. N'oublie pas de créer ta fiche de liens et ton journal afin de faire ami-ami avec les autres survivants ! Si le coeur t'en dis, tu peux même créer un scénario pour enrichir ton jeu. Pour finir, n'oublie pas que sur AFTER US tu n'es jamais seul et ton avis est précieux pour tous ! Nous t'invitons donc à poser des questions si un point te semble obscur ou même donner des suggestions. Si besoin est, tu pourras signaler une absence dans ce sujet. A très bientôt sur la chatbox ou dans le flood !


Obviously.

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Obviously ❝The true genius shudders at incompleteness — imperfection — and usually prefers silence to saying the something which is not everything that should be said. ❞ 3850022787

Thanks Yhmette
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