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 “Most men and women will grow up to love their servitude and will never dream of revolution.”

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Elliott Matteï
Age : 34 ans
Origines : Roumaines
Métier : Médecin
Indulgences : 1156
Localisation : Emporia District
Avatar : Tatiana Maslany <c> Sil
Souvenirs : 137

Your identity
Situation: Célibataire
Croyances: Animus Vox.
Classe de naissance: Immigrant.

Elliott Matteï
ANIMUS VOX - Elder

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MessageSujet: “Most men and women will grow up to love their servitude and will never dream of revolution.”   “Most men and women will grow up to love their servitude and will never dream of revolution.” EmptyMer 31 Déc - 1:55

Elliott "Ellie" Matteï


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Papers please

Nom complet : Elliott Sonja Matteï

Âge : 34 ans

Statut : Célibataire

Nationalité : Roumaine, citoyenne du dôme

Groupe & Rang :  Animus Vox - Elder

Métier : Médecin



Who are you
Depuis quand résidez-vous au dôme?

J'y suis née, comme mes parents et mes grands parents avant moi. Dans une petite maison de bois et de tôle gondolée de Cerberus Hall que mon père a construite de ses mains. Quatre murs et un toit, assez d’amour pour en faire un foyer. Mes ancêtres venaient d'un pays par delà les montagnes de l'Oural, d'une région qu'on appelait Transylvanie. J’ai grandi à l’ombre de la grande tour, au pied du monde. Le béton lézardé comme mon empire de pacotille, foulant la terre battue de mes pieds et le verre comme seul horizon. J’y suis née, j’y ai grandi et j’y mourrais certainement, comme mes enfants et mes petits enfants après moi.  

Que pensez-vous du Dôme ?

Il n’y a rien de plus important en ce monde que le Dôme. Comment pourrait-il en être autrement ? Il est le monde. Il est omniscient, tout autour de nous. Il suffit de tendre l’oreille et d’entendre le battement mécanique de son cœur.  Nous lui devons la vie, il est le ventre dans lequel nous grandissons, l’abri dans lequel nous reprenons nos forces. Mais le dôme est l’humanité et comme elle il agonise, de ces luttes de pouvoirs et de ces conflits fratricides qui pervertissent son message. Nous ne sommes qu’une partie d’un tout, nous ne sommes rien sans le dôme et il n’est rien d’autre sans nous qu’une coquille vide au milieu d’un désert glacé.

Quelle est votre mission au sein de la communauté ?

Je fais partie de l’Ordre. En qualité d’Elder, je suis en charge de la conservation et la transmission du savoir, plus précisément des sciences médicales. Je suis médecin chercheur, j’officie la plupart du temps avec les femmes enceintes et celles qui désirent avoir des enfants. Mes recherches portent principalement sur la stérilité et le renouvellement du patrimoine génétique du dôme afin de préserver l’humanité. Je travaille donc en étroite relation avec l’autorité civile et leurs scientifiques. Pourtant, il m’arrive parfois de sortir de passer outre mon rôle, outre la loi. Malgré les précautions prises par les gens et par le pouvoir, il arrive que des accidents se produisent, des grossesses illégales, des enfants qui naissent sans avoir le droit d’exister. J’aide les populations du mieux que je le peux. Un médecin vaut mieux qu’une aiguille à tricoter qu’une femme et son enfant morts faute de soins. Je sais que tout cela est illégal, que je pourrais avoir de gros ennuis, mais rien dans tout cela n’est en contradiction avec ce en quoi je crois.

Croyez-vous au Dôme et à l'Animus Vox ?

Oui bien entendu. Je crois en la force de l’Animus en chacun de nous. Oui je crois, je n’ai jamais flanché, pas un seul instant dans ma foi. Pourtant il m’arrive de douter. Pas du dôme, pas de l’Animus Vox, mais de l’Ordre. Je me pose des questions, parfois, sur le bien-fondé d’une religion organisée. Je ne suis pas certaine que c’est bien là la volonté de l’Animus, que nos sermons et nos préceptes soient ce qu’il voudrait. Je crois, et pourtant parfois, l’Ordre me fait peur. Mais je ne l’avouerais jamais, je ne peux supporter l’idée d’avoir été arraché à Bilàl pour une illusion, pour une simple illusion.

Que pensez-vous de l'extérieur ?

Je n’ai jamais vu l’extérieur qu’au travers d’une paroi de verre, déformé par la rumeur. Hostile, désertique, mortel. Je me souviens des histoires que me racontait Bilàl, sur les océans et les montagnes. Il paraît que le soleil chauffe votre visage et que la neige crisse sous vos pas et qu’il n’y a rien d’autre que l’immensité à perte de vue. Il y a tous ces gens dehors, qui vivent malgré le froid, malgré les radiations. Des gens qui vivent sans contraintes, sans règles, sans la bonté de l’Animus. Tout cela me paraît si lointain, presque irréel. Pourtant je vois l’extérieur qui a laissé sa marque sur le visage des immigrés, dans leur cœur et dans leurs yeux fiévreux. Je crois que j’aimerais voir l'océan, juste une fois.

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Il y a quelque chose de presque enfantin chez elle, les quelques mèches folles qui s’échappent de son chignon lui tombent devant les yeux. Cela la fait rire, le son résonne contre les murs comme un carillon. Son visage s’illumine et on voudrait presque rire avec elle. Elle appose ses mains avec bienveillance sur le front des enfants qui courent entre ses jambes. Les gens l’aiment, les gens l’ont toujours aimé. Elle ne pleurait presque pas, lorsqu’elle n’était encore qu’un nourrisson frêle, contemplant le monde avec ses grands yeux, observant ce qui l’entourait. Elle était une enfant calme. Elle est toujours ainsi. Elle parle peu, uniquement lorsque c’est nécessaire. Toujours d’une voix calme et posée, jamais un mot plus haut que l’autre. Elle pense que les gens s’attardent trop en paroles. Ce qui compte ce sont les actes. Sa présence est étrangement apaisante, comme baigner de lumière. Il y a tant d’amour en elle, trop pour une seule personne, trop d’amour à donner et pas assez de place pour en recevoir. Elle sait qu’on peut aimer trop fort et cela lui fait peur. Elle a peur d’elle-même. Peur des mauvaises pensées qui parfois l’assaillent, peur de n’être pas assez bien pour sa fonction, peur de n’être pas à la hauteur. Elle a travaillé tellement dur, tellement dur pour y arriver. Elle n’a jamais cherché rien d’autre que l’approbation de ses pairs. Elle n’a jamais cherché rien d’autre que d’être quelqu’un de bien. Elle fait partie de ces gens qui croient avec une foi en inébranlable en l’humanité. Qui pense que le bon surpassera toujours le mauvais. Elle a été heureuse il y a longtemps. Mais aujourd’hui elle n’est plus tout à fait sûre d’avoir le droit au bonheur. Qu’à telle fait pour le mériter si on y pense ? Il y a cette tristesse qui pousse comme une mauvaise herbe dans sa poitrine, qui enserre son cœur. Peut-être un jour finira-t-elle par mourir de chagrin sans s’en rendre compte. Elle cherche à faire ce qui est juste. Ellie, petite Ellie qui a toujours été trop gentille pour son propre bien. Ellie, trop de bonté dans un monde qui n’en mérite pas tant. Tu continues de sourire, mais tu n’es plus tout à fait sûre que cela en vaille la peine.

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Tu fermes les yeux quelques instants. Le silence n’existe pas ici. Le système d’aération est vieux et bruyant, un ronronnement constant et régulier. Il y a toujours du bruit quelque part, toujours un bourdonnement presque organique. Une ruche, une fourmilière, la vie qui pulse au travers du métal. Cela ne te dérange pas, au contraire. Tu trouves cela réconfortant dans une certaine mesure, cela prouve que l’Animus est avec toi à chaque instant. Tu n’es jamais vraiment seule.  Tu ouvres les yeux lorsque tu entends des pas derrière toi. Tu souris, rassurante, au jeune homme qui est venu te chercher, presque un enfant. L’adolescente pleure en silence, des petits sanglots étouffés dans le drap froissé. À la lueur de la bougie qui éclaire la petite pièce exigüe, tu ne lui donnerais pas quinze ans. Ses cheveux blonds sont coupés court, elle renifle lorsque tu t’approches et poses une main sur son avant-bras. « Depuis quand n’as-tu pas saigné ? » Elle hésite quelques instants et le silence s’étend, quelques secondes qui signifient une éternité pour elle. « Six, peut-être sept semaines. » Tu lui caresses les cheveux, bienveillante. Tu n’oses pas baisser les yeux, sur la main qui s’est posée sur son ventre, sur sa poitrine qui se soulève douloureusement. « On va s’en occuper d’accord ? Personne n’a besoin de le savoir à part nous. » Elle continue de pleurer et le garçon vient l’entourer d’un bras protecteur. Elle lui répète que c’est la seule solution, tu détournes les yeux. La vision te fait mal, ton cœur s’emballe quelques instants. Il lui caresse le dos avec douceur et l’amour qu’il transmet dans le geste te tétanise. Devant toi ce sont deux gosses de Cerberus Hall qui s’aiment. Deux pauvres imbéciles. « Tout se passera bien, je te le promets. » Il acquiesce. Tu les libères du poids d’un amour qu’ils n’ont pas le droit d’assumer. Dans la clandestinité de la nuit, tu bafoues les lois du dôme, les principes de ton ordre, mais tu ne t’en soucies plus. Tu as toujours voulu faire ce qui est juste. Stupide petite Ellie qui croyait au plus grand bien, çà aurait pu être toi saignant sur le drap blanc.

Tu as prié pour lui comme toujours lors de la dernière prière, le front sur le sol glacé, inspirant tes propres litanies chargées de sanglots. Tu n’es pas vraiment triste pourtant, la tristesse t’es passée il y a longtemps. Tu fais tout pour ne pas qu’elle revienne.  La routine à quelque chose de rassurant, elle empêche l’esprit de vagabonder, elle limite la fantaisie, restreint l’imagination. Avec le temps, tu as commencé à apprécier les qualités apathiques de la répétition d’un jour sans fin. Ce n’est pas ainsi que tu avais imaginé ta vie, mais tu n’as pas le droit d’espérer autre chose, tu devrais t’en satisfaire. Ellie, pourquoi es-tu si égoïste ? Tu frottes tes mains l’une contre l’autre pour les réchauffer. Oui Ellie, pourquoi n’arrive tu pas à être heureuse ? Dans la nuit artificielle, les ampoules brillent au plafond comme des étoiles, une constellation en toc. Rien n’est vrai, pas même le ciel. Tu ne trouves pas que c’est triste, quand tu y penses ? Tu n’as jamais connu la pluie sur ton visage, jamais les rayons du soleil n’ont effleuré ta peau. L’air que tu respires est filtré en circuit fermé. C’est le souffle de milliers d’hommes et de femmes qui ont vécu ici avant toi, le souffle rauque de deux amants dans les ruines de Cerberus Hall, le dernier souffle que ce vieillard à l’agonie a rendu lorsque ta main serrait la sienne. Leurs fantômes pèsent sur tes épaules tout comme Atlas portait le monde. Parfois, tout cela te donne le tournis. Tu as le vertige de cet infini confiné dans un dôme, comme quelque chose de précieux sous une cloche de verre. Les lucioles électriques vacillent, leurs images fantômes ancrées sur ta rétine. Tu clignes des yeux devant leur beauté, tu voudrais t’allonger et tenter de les toucher du bout des doigts comme tu le faisais lorsque tu étais plus jeune. Tu inspires. Ce temps est révolu depuis longtemps. Tu n’es plus l’enfant qui a grandi dans ces rues, tu n’y as plus ta place même si tu le voulais. Tu n’aimais pas escalader les blocs de béton, l’altitude te faisait peur, mais Bilàl te tendait la main et c’était juste une excuse pour la prendre. Vous le saviez tous les deux. Vous pensiez être au sommet du monde, monarques d’un royaume dépareillé, vous pensiez être invincibles, mais seul lui l’était en définitive. Tu voudrais prendre tous ces souvenirs et les mettre en bouteille avant qu’ils ne s’étiolent, avant qu’il ne te reste plus que cette horrible sensation de vide dans le creux de ton ventre. Il te semble que le froid est plus mordant ce soir, c’est sûrement une illusion, mais tu frissonnes. Tu rêves à des bras qui t’étreignent. Il ouvre la porte comme s’il t’attendait. Il ne t’étreint pas. Il fait toujours aussi froid.

Tu bats la mesure du bout des doigts sur bureau en acajou, un air que tu as déjà entendu. On n’enseigne plus la musique dans le dôme et tu trouves cela dommage. Le luxe de l’endroit est indécent, du bois précieux et des dorures à l’or fin, quelle futilité dans un monde qui se meurt. Tu te gardes bien de le faire remarquer après tout tu en as rêvé toi aussi, de cette tour. Tu l’observes ; la manière dont le costume neuf tombe sur ses épaules, dont l’alliance à son doigt reflète la lumière du lustre en cristal. Pas d’alliance à ton doigt, ce n’est pas toi que Bilàl a épousé. Tu n’étais qu’une enfant chétive, née de deux parents trop vieux pour t’avoir.  Ils t’ont donné tout l’amour d’une vie passé à t’attendre. Tu savais aimer avant de connaitre Bilàl, tu ne savais simplement pas à quel point. Tu voudrais qu’il te regarde, tu voudrais qu’il te console, mais ce n’est pas le genre de choses que fait monsieur Milošević. M. Milošević dans son costume neuf et son bureau dans la tour, avec sa femme et son statut. Tu aimerais tellement qu’il soit fier de toi comme avant.
« Bilàl. » Il ne te répond pas, t’ignores ostensiblement en faisant mine de lire un dossier, mais tu sais qu’il t’écoute, tu connais le gamin insolent comme le haut juge. Il allait rentrer chez lui, retrouver sa femme, sa vie sans toi. Mais il est resté, il ferait encore n'importe quoi pour toi. Vous êtes deux idiots. Tu trembles légèrement en contournant le bureau. Tu as brisé son cœur et il a piétiné le tien. Tu le supplies encore parfois de te jurer qu’il ne l’aime pas, comme si cela pouvait changer quelque chose. Tu es ridicule Ellie. Avec ta religion dans laquelle tu te drapes comme si cela te donnait une quelconque légitimité à ses yeux et tes rêves d’adolescente auxquels tu ne veux pas renoncer. Tu refuses d’accepter l’inévitable. Tu n’as plus d’avenir avec Bilàl, tu l’as tué le jour où l’Ordre t’a appelé. Tu as toujours été si intelligente Ellie, comment as-tu pu être aussi stupide ? Tu as toujours cru en la bonté de l’Ordre, oui tu as toujours prié l’Animus avec ferveur. Tu étais si heureuse lorsqu’ils t’ont appelé. Ils t’ont dit toutes ces choses que tu avais toujours rêvé d’entendre. Tu es promise à de grandes choses Elliott, avec une intelligence comme la tienne rien ne pourrait t’arrêter. Et puis ton corps fonctionne admirablement malgré ton asthme. Tu peux donner la vie, tu pourras avoir des enfants, c’est une chance. Oui des enfants avec Bilàl. Vous auriez demandé un permis dès ton rang d’Évêque et vous auriez été heureux. Tes lèvres trouvent les siennes, il ne répond pas à ton baiser. Vous n’aurez jamais d’enfants ensemble et il ne te portera jamais dans ses bras pour montrer à tout Cerberus Hall votre bonheur. « Evan Sytchev m’a demandé de l’accompagner à la célébration du solstice et j’ai dit oui. » La main de Bilàl enserre ton poignet, pas assez pour te faire mal juste assez pour que tu comprennes que cette fois-ci tu as gagné. Tu n’es pas la seule à ne pas savoir renoncer. Crois-tu même en ces préceptes que tu prêches ? Lorsque ses doigts caressent les tiens et que ses lèvres effleurent ta peau ? Tu pourrais vivre des centaines de vies, tu aimerais toujours Bilàl d’un amour exclusif et fou, de l’ordre de ceux qui font mal, qui détruisent des continents et font tomber des empires. Tu pourrais vivre des centaines de vies et tu bafouerais tout autant tes principes parce qu’aimer Bilàl fait partit de toi comme l’Animus et que tu ne saurais vivre sans.









Behind the Character
Prénom ou Pseudo
IRL j'ai 23 ans. Je suis là aussi souvent que possible présence moyenne sur 7 jours jours par semaine. J'ai connu After Us grâce à nos esprits tordus et j'utilise Tatiana Maslany comme avatar.

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Bilàl Milošević
Age : 38 ans.
Origines : Serbo-croates.
Métier : Haut-juge à l'immigration.
Indulgences : 1848
Localisation : Migdal tower.
Avatar : Fassy Fapy
Souvenirs : 527
Double compte : Huxley Rezh

Your identity
Situation: Marié.
Croyances: Lunatiques.
Classe de naissance: Immigrant.

Bilàl Milošević
HIGH GROUND - Order

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MessageSujet: Re: “Most men and women will grow up to love their servitude and will never dream of revolution.”   “Most men and women will grow up to love their servitude and will never dream of revolution.” EmptyMer 31 Déc - 2:05

Coucou tu veux voir mon tipi ? What a Face
Tradition oblige, message à la con sur ta fiche.
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